|

Mi blog
Programas
Julie R.: Publié le dimanche 23 juillet 2017 14:53
Saboreo cada acto.
Antes cuidaba que los demás
no hablaran mal de mí,
entonces me portaba como los demás querían
y mi conciencia me censuraba.
Menos mal que a pesar de mi
esforzada
buena educación siempre había alguien difamándome.
¡Cuánto agradezco a esa gente que me enseñó
que la vida no es un escenario!
Desde entonces me atreví a ser como soy.
He viajado por todo el
mundo, tengo amigos de todas las religiones;
conozco gente extraña:
católicos, religiosos pecando y asistiendo a misa puntualmente,
pregonando lo que no son,
personas que devoran al prójimo con su lengua e intolerancia,
médicos que están peor que sus pacientes,
gente millonaria pero infeliz,
seres que se pasan el día quejándose,
que se reúnen con familia o amigos
los domingos para quejarse por turnos,
gente que ha hecho de la estupidez su manera de vivir.
El árbol anciano me enseñó
que todos somos lo mismo.La montaña es mi punto de
referencia:
ser invulnerable, que cada uno diga lo que quiera,
yo sigo caminando indetenible.
Soy guerrero:
mi espada es el amor,
mi escudo el humor,
mi hogar la coherencia,
mi texto la libertad.
Si mi felicidad resulta
insoportable, discúlpenme,
no hice de la cordura mi opción.
Prefiero la imaginación a lo indio,
es decir inocencia incluida.
Quizás solamente teníamos
que ser humanos.
El que tú no veas los
átomos,
no significa que no existan. Por eso es muy importante
que sea el Amor
lo único que inspire tus actos. Sin Amor nada tiene sentido,
sin Amor estamos perdidos,
sin Amor corremos el riesgo de estar de nuevo
transitando de espaldas a la luz.
En realidad,
sólo hablo
para recordarte
la importancia
del silencio.
Anhelo que descubras el
mensaje que se encuentra
detrás de las palabras; no soy un sabio,
sólo un enamorado de la vida.
El silencio es la clave,
la simplicidad es la puerta
que deja fuera a los imbéciles.
La gente feliz no es
rentable,
con lucidez no hay necesidades innecesarias. No es suficiente querer despertar,
sino despertar. La mejor forma de despertar
es hacerlo
sin preocuparse porque nuestros actos
incomoden a quienes duermen al lado.
Recuerda que el deseo de
hacerlo bien será una interferencia.
Es más importante amar lo que hacemos
y disfrutar de todo el trayecto. La meta no existe, el camino
y la meta son lo mismo.
No tenemos que correr hacia ninguna parte,
sólo saber dar cada paso plenamente.
No, no te resistas, ríndete
a la vida.
Quien acepta lo que es
y se habilita para hacer lo que puede,
encarna las utopías
y lo imposible se pone a disposición.La mejor manera de ser feliz
es: ‘ser feliz’.
Reconstruye tu raíz y saborea la vida.
Somos como peces de mares
profundos,
si salimos a la superficie reventamos. La frivolidad y la
intrascendencia
condenan la vida a la muerte.
Cuando somos más grandes que
lo que hacemos,
nada puede desequilibrarnos.
Pero cuando permitimos que las cosas sean más grandes
que nosotros, nuestro desequilibrio está garantizado. El corazón está en
emergencia por falta de amor.
Hay que volver a conquistar la vida,
enamorarnos otra vez de ella.
Nuestro potencial interior
aflora espontáneamente
cuando nos dejamos en paz.
Quizá sólo seamos agua
fluyendo;
el camino nos lo tenemos que hacer nosotros. Más no permitas que el cauce
esclavice al río,
no sea que en vez de un camino tengas una cárcel.
La infelicidad no es un
problema técnico,
es el resultado de haber tomado el camino equivocado.
Amo mi locura que me vacuna
contra la estupidez.
Amo el amor que me inmuniza ante la infelicidad
que pulula por doquier, infectando almas
y atrofiando corazones.
El amor es, a nivel sutil,
la esencia de nuestra instancia inmunológica.
La gente está tan
acostumbrada a complicarse,
que rechaza de antemano la simplicidad. La gente está tan
acostumbrada a ser infeliz,
que la sensación de felicidad
les resulta sospechosa.
La gente está tan reprimida,
que la espontánea ternura
le incomoda y el amor le inspira desconfianza.
Hay cosas que son muy
razonables, objetivas y… apestan.
Ya no podemos perder el
tiempo
en seguir aprendiendo técnicas espirituales cuando aún estamos vacíos de amor. Quienes no están preparados
para escuchar
tienen la recompensa de no enterarse de nada.
Disfruta de lo que tienes,
recibe lo que venga,
crea e inventa lo que necesites, haz sólo lo que puedas,
y fundamentalmente celebra lo que tengas. La vida es un canto a la
belleza,
una convocatoria a la transparencia
Cuando esto lo descubras
desde la vivencia,
el viento volverá a ser tu amigo,
el árbol se tornará en maestro
y el amanecer en ritual. La noche se vestirá de
colores,
las estrellas hablarán el idioma del corazón
y el espíritu de la tierra reposará otra vez tranquilo.
¡Me declaro vivo!
Fuente: “ME DECLARO VIVO” de Chamalú, indio quechua
|
|
Julie R.: Publié le dimanche 23 juillet 2017 14:48
Je savoure chaque acte.
Avant je faisais attention à ce qu’on ne parle pas mal de moi, d’ailleurs je me comportais comme les autres voulaient et ma conscience me censurait.
Heureusement, malgré mes efforts de bonne éducation, il y avait toujours quelqu'un pour me diffamer. Je remercie tellement ces gens qui m’ont appris que la vie n'est pas une scène ! Depuis, j'osais être moi-même.
J'ai parcouru le monde, j'ai des amis de toutes les religions ; je connais des gens étranges : des catholiques, des religieux qui pêchent et assistent à la messe toujours
à l'heure, se vantant de ce qu'ils ne sont pas, des gens qui dévorent leur prochain avec leur langue et leur intolérance, des médecins qui se portent plus mal que leurs patients, des gens millionnaires mais malheureux, des êtres qui passent la journée à se plaindre qui se retrouvent en famille ou entre amis le dimanche pour se plaindre à tour de rôle, des gens qui ont fait de la bêtise leur mode de vie.
Le vieil arbre m'a appris que nous sommes tous pareils.
La montagne est mon point de référence : invulnérable, que chacun dise ce qu'il veut, je continue mon chemin imparable.
Je suis un guerrier : mon épée est l’amour, l’humour mon bouclier, la cohérence est ma maison, et mon texte la liberté.
Si mon bonheur vous semble insupportable, excusez-moi, la raison n’est pas mon choix de prédilection. Je préfère l'imagination à l’indienne, c'est à dire innocence comprise.
Peut-être ne devions-nous être qu’humain.
Que vous ne voyiez pas les atomes, ne signifie pas qu'ils n'existent pas.
C’est pour ça qu’il est très important que ce soit l'Amour la seule chose qui inspire tous vos actes.
Rien n'a de sens sans amour, sans amour, nous sommes perdus, sans amour, nous courons le risque de nous retrouver cheminant dos à la lumière.
En réalité, je parle seulement pour te rappeler l'importance du silence.
J’ai hâte que tu découvres le message qui se trouve derrière les mots ; je ne suis pas un sage, juste un amoureux de la vie.
Le silence est la clé, La simplicité est la porte qui laisse dehors les imbéciles.
Les gens heureux ne sont pas rentables, avec lucidité il n’y a pas de besoins inutiles.
Ce n’est pas le tout de vouloir se réveiller, il faut se réveiller.
La meilleure façon de se réveiller est de le faire sans se préoccuper si nos actes incommodent ceux qui dorment à côté.
Rappelle-toi que le désir de bien faire sera une interférence. Il est plus important d'aimer ce que nous faisons et de profiter tout au long du chemin.
Le but n'existe pas, le chemin et le but sont la même chose. Nous ne devons pas courir vers nulle part, sinon savoir comment profiter pleinement de chaque pas.
Non, ne résiste pas, rends-toi à la vie. Celui qui accepte ce qu’il est et se donne les moyens de faire ce qu’il peut, incarne les utopies et l'impossible est mis à disposition.
La meilleure façon d'être heureux est : d’« être heureux ». Reconstruis tes racines et savoure la vie.
Nous sommes comme des poissons des mers profondes, si nous sortons à la surface, nous crevons.
Frivolité et manque d’importance condamnent la vie à la mort.
Quand nous sommes plus grands que ce que nous faisons, rien ne peut nous faire perdre l'équilibre. Mais quand nous permettons que les choses soient plus grandes que nous, notre déséquilibre est garanti.
Le cœur est en urgence par manque d'amour. Nous devons reconquérir la vie, tomber à nouveau amoureux d’elle.
Notre potentiel intérieur émerge spontanément quand nous nous laissons en paix.
Peut-être que nous sommes juste de l'eau qui coule; le chemin, c’est à nous de nous le faire.
Par ailleurs, ne laisse pas le lit asservir la rivière, de peur qu’au lieu d'un chemin tu te creuses une prison.
Le malheur n’est pas un problème technique, c’est le résultat d'avoir pris la mauvaise direction.
J'aime ma folie qui me vaccine contre la bêtise. J'aime l'amour qui m’immunise contre le malheur qui grouille partout, infectant les âmes et atrophiant les cœurs.
L'amour est, de façon subtile, l'essence de notre ressort immunitaire.
Les gens sont tellement habitués à se compliquer la vie, qu'ils rejettent d'avance la simplicité.
Les gens sont tellement habitués à être malheureux, que le sentiment de bonheur en devient suspect.
Les gens sont tellement réprimés que la tendresse spontanée gêne et l'amour inspire la méfiance.
Il y a des choses qui sont très raisonnables, objectives et... qui puent.
Nous ne pouvons plus perdre de temps à continuer à apprendre des techniques spirituelles quand nous sommes
encore vides d'amour.
Ceux qui ne sont pas prêts à écouter ont la récompense de ne rien capter.
Profite de ce que qui est à toi, reçois ce qui vient, crée et invente ce dont tu as besoin, fais seulement ce que tu peux, et surtout félicite-toi de ce que tu as.
La vie est un hymne à la beauté, un appel à la transparence
Lorsque tu t’en rends compte par expérience, le vent devient ton ami, l'arbre se change en maître et l'aube en rituel.
La nuit se vêtira de couleurs, les étoiles parleront la langue du cœur et l'esprit de la terre reposera enfin au calme.
Je me déclare en vie !
~~~ Source : “ME DECLARO
VIVO” de Chamalú, indien quechua. Traduction de Julie Rogissart ~~~
|
|
Bernard Werber: Publié le mardi 18 juillet 2017 11:45
LEY DE PARKINSON: La ley de Parkinson (nada tiene que ver con la enfermedad del mismo nombre) señala que, a medida que una empresa crece, se contrata a más personas mediocres que, no obstante, reciben un salario muy por encima de su mérito. ¿Por qué? Simplemente porque los ejecutivos que ocupan el poder temen la llegada de competidores en potencia. La mejor manera de no crearse rivales peligrosos consiste en contratar incompetentes. La mejor forma de eliminar en ellos cualquier veleidad de zancadillas es pagarles muy bien. De este modo las castas dirigentes se aseguran una tranquilidad permanente. EDMOND WELLS. Enciclopedia del saber relativo y absoluto, tomo II.
|
|
Bernard Werber: Publié le mardi 18 juillet 2017 11:37
EXPERIMENTO CON CHIMPANCÉS En una sala vacía, hay 5 chimpancés. En su centro se encuentra una escalera y un racimo de plátanos en su cima. En cuanto el primer mono se fija en los plátanos, sube la escalera para alcanzarlos y comérselos. Pero tan pronto como se acerca al fruto, un chorro de agua helada saliendo del techo le rocía y le hace caer. Los otros monos intentan también subir los escalones. Todos acaban rociados y renuncian a apoderarse de los plátanos. Se corta el chorro de agua helada y se reemplaza un mono empapado por otro seco. Apenas ha entrado que los ancianos tratan de disuadirlo de subir para ahorrarle la ducha helada. El recién llegado no entiende. Solo ve un grupo de congéneres impidiéndole coger un manjar. Así pues intenta pasar a la fuerza y pelea contra los que quieren detenerle. Pero a 1 contra 4, le molen a palos.Otro mono empapado se reemplaza por un nuevo mono seco. Apenas ha entrado que su predecesor, quien creyó entender que era así que convenía acoger a los recién llegados, se le echa encima y le machaca. El recién llegado, que no ha tenido tiempo de detectar ni la escalera ni los plátanos, ya está fuera de juego. Los 3°, 4° y 5° monos mojados están reemplazados en turno por tantos monos secos. Cada vez, a los nuevos chimpancés se les mole a palos tan pronto como llegan. La acogida es aún más y más violenta, los monos poniéndose de 2 o 3 para golpear al nuevo, como si se tratara de un ritual de bienvenida por perfeccionar. Al final, el racimo de plátanos sigue en la cima de la escalera, pero los cinco monos secos están tan aturdidos que no piensan en acercarse a ella. Su única preocupación es acechar la puerta por la cual aparecerá un nuevo congénere para derribarle cuanto antes. Este experimento se llevó a cabo con el fin de estudiar los comportamientos de grupo en una empresa.
Nueva Enciclopedia del Saber Relativo y Absoluto Bernard Werber
|
|
Bernard Werber: Publié le mardi 18 juillet 2017 11:12
PENSAMIENTO: El pensamiento humano lo puede todo. En los años 50, un buque mercante inglés que transportaba botellas de vino de Madeira procedente de Portugal atraca en un puerto escocés para desembarcar su cargamento. Un marino entra en la cámara frigorífica para comprobar si todo está bien. Ignorando su presencia, otro marino cierra la puerta desde fuera. El prisionero golpea con todas sus fuerzas los tabiques, pero nadie le oye y el navío vuelve a zarpar con destino a Portugal. El hombre descubre alimento suficiente pero sabe que no podrá sobrevivir mucho tiempo en aquel lugar refrigerado. Encuentra, sin embargo, energía para coger un trozo de metal y grabar en las paredes, hora tras hora, y día tras día, el relato de su calvario. Cuenta con precisión científica su agonía.Cómo el frío le va embotando y helando su nariz y los dedos de manos y pies, que se vuelven quebradizos como cristal. Describe la forma en que la mordedura del aire se convierte en quemadura intolerable. Cómo poco a poco su cuerpo entero va petrificándose en un bloque de hielo. Cuando el barco echa el ancla en Lisboa, el capitán que abre el contenedor descubre al marinero muerto. En las paredes lee el diario minucioso de sus horribles sufrimientos.Sin embargo, lo más sorprendente no estaba ahí. El capitán mira la temperatura del interior del contenedor. El termómetro indica 10° centígrados. Dado que el lugar ya no contenía mercancías, el sistema de refrigeración no se había activado durante el viaje de regreso. El hombre había muerto únicamente porque creía tener frío. Había sido víctima únicamente de su propia imaginación.
Edmond Wells Enciclopedia del saber relativo y absoluto, tomo II (Bernard Werber - El Día de las Hormigas)
|
|
Bernard Werber: Publié le mardi 18 juillet 2017 10:53
LOCURA: Todos nos volvemos cada día un poco más locos, y cada uno de una locura diferente. Ésa es la razón por la que nos comprendemos tan mal los unos a los otros. Yo mismo me siento alcanzado por la paranoia y la esquizofrenia. Además, soy hipersensible, cosa que deforma mi visión de la realidad. Lo sé. Ahora intento, en vez de sufrirla, utilizar esa locura como motor para todo lo que emprendo. Pero cuanto más triunfo, más loco me vuelvo. Y cuanto más loco me vuelvo, mejor alcanzo los objetivos que me fijo. La locura es un león furioso escondido en cada cráneo. Sobre todo, no hay que matarlo. Basta con identificarlo y domarlo. Vuestro león domesticado os conducirá entonces mucho más allá que cualquier maestro, que cualquier escuela, droga o religión. Pero, como ocurre con toda fuente de poder, hay un riesgo si uno juega demasiado con su propia locura: a veces el león, sobreexcitado, se vuelve contra quien quería domarle.
EDMOND WELLS Enciclopedia del saber relativo y absoluto, tomo II.
|
|
Julie R.: Publié le mardi 18 juillet 2017 09:47
Erase
una vez un miedo primordial.
Que se haya experimentado en el vientre de nuestra
madre (no nos desearon, no era el momento, querían un hijo de otro sexo, hubo
un aborto, voluntario o no, antes que nosotros, es la primera vez para mamá y
tiene miedo de hacer mal o hacer daño al bebé, se reemplaza un niño muerto
antes que nosotros, nuestra propia madre no fue deseada, mamá es demasiado
joven o demasiado mayor, papá está enfermo, bebé se presenta mal....)Que se haya experimentado en la infancia (pérdida de
un padre, discusiones entre padres, separación de los padres, mudanza, problema
de sitio con los hermanos, pérdida de....)
Todos
tomamos una resolución, la de sobrevivir
a esta situación.
Para ello hemos generado una energía de supervivencia
llamada Yo Negativo (una parte de nosotros dedicada a luchar contra esta
situación negativa). Agradecemos esta energía en aquel momento. El problema es que esta energía está activada en modo
"Anti - negativo".
Nada se pierde, todo se transforma.
Así que para poder ser utilizada, esta energía va a
solicitar que vivamos experiencias negativas. Será pues, en nosotros, un
imán de negatividad llamado Yo
Negativo. Cuanto más vivimos algo negativo, más utilizamos esta energía,
más va a crecer, más vamos a atraer situaciones, hasta que esta manera de
proceder se convierta en acto reflejo, automático, e involuntario. Y nos
convertiremos en experto en
gestionar lo negativo.
Acabaremos siendo este Yo Negativo quien va a
tomar la delantera e impedir a nuestro Yo positivo que se exprese. Entonces, viviremos sufrimiento, separación, dolor,
enfermedad, malestar, depresión, angustia, absurdidad, vacío, incomprensión,
conflictos, pánico, sensación de no ser... y acabaremos creyendo que somos esta
persona Negativa que se pasa la vida en busca de lo negativo, de los problemas.
Nuestra percepción de la vida es
negativa.
El Neuro-Training utiliza un protocolo muy específico
para erradicar esta Defensa Mental Primaria y permitirnos expresar nuestra
esencia, nuestra luz y eliminar esta parte oscura de nosotros mismos. Todo el mundo debería eliminar este exceso de negatividad que bloquea nuestro
Yin Yang mental y nos hace experimentar sólo el lado negativo de la vida.
Tenemos derecho a tener un lado negativo, si no el Yin Yang ya no existe. Lo
que es intolerable es que esta parte negativa oscurezca nuestra parte positiva
y le prohíba existir. El Yo Negativo se comporta como un saboteador que impide
a cualquier persona estar mejor, y le obliga a vivir con limitaciones. Lucha
contra cualquier intento de progreso, de desarrollo positivo. Lo que le importa
es que le necesitemos, por lo tanto que fracasemos o que seamos infeliz. Al eliminar este Yo Negativo, es un regalo
que le hacemos al universo.
José Chouraqui
Vídeo DIsney explicativo del estrés
|
|
Julie R.: Publié le jeudi 8 juin 2017 18:27
" Deja
que te cuente un poco lo que me está pasando: Primero mi viaje ha sido increíble.
Por supuesto, nada fue como previsto, de hecho, después de una semana (de 3)
abandoné toda planificación y fue siguiendo el rollo, que es algo que intento hacer
con mi vida últimamente también, y funciona de perla hasta ahora (más sobre
este tema adelante).
Al
final, pasé 2 semanas de mis vacaciones en una isla diminuta (2 x 3 km) de la
que me enamoré – también me enamoré del buceo y pienso seguir con ello aquí (en
Junio, que el tiempo ya está mejorando).
Pensé
en un montón de cosas durante el viaje, decidí retomar más deporte, mirar de
cambiar de profesión, dejar el baile y el canto, y también revisité mis ideas
sobre la vida en general. Desde
que volví (el 2 de Mayo), la vida ha sido pura magia. He tenido mogollón de
actividad en mi vida “romántica” – que como ya sabes fue un poco problemática
antes – y ahora parece que estoy viendo alguien (no quiero gafarla, no sé cuánto
durará o adónde nos llevará, pero improviso sobre la marcha como dicen y a ver
lo que pasa).
También
voy probando todo tipo de actividades, recientemente el paracaidismo y el surf
(el kite-surf sigue pendiente en la lista) – una vida muy fluida. ¡No tengo
absolutamente nada de que quejarme! Todo es tal y como siempre quise que fuera,
incluso mis perros portándose bien y mi casa constantemente llena de gente (una
amiga se quedó estas 2 últimas semanas y ahora otra llega, y luego vienen ¡mi
padre y mi abuela!). Y hoy, descanso un poco…
¡Así
que sí! Las cosas van de maravillas[…]¡Dios mío, me cambiaste la vida! Tú y
el viaje, aunque tuviste un efecto a más largo plazo (lo que me llevó al viaje). "
Magdalena, después de 3 meses de
terapia
|
|
Julie R.: Publié le mercredi 7 juin 2017 12:34
Hoy en día, los
médicos de familia están perdiendo influencia. De hecho, se puede decir que la
rama de la medicina orientada a la atención primaria suele ser la más
despreciada por los propios médicos. Podría ser, según el profesor Zafran,
porque la práctica de la medicina general está lejos de la teoría enseñada en
las aulas de las universidades.En este contexto,
¿presenta el Neuro-Training una alternativa generalista compatible con las
especialidades médicas?
¿Medicina vs Neuro-Training?
Indagando las
definiciones de cada término para darnos cuenta de sus similitudes y matices,
consideramos la medicina generalista, según la WONCA (World Organization of
National Colleges, Academies), como una ciencia que trata las enfermedades y
por extensión, su prevención y la noción de salud. En su lado
generalista, o su sinónimo global, se define como extendiéndose
a todo el mundo y a todos los casos posibles. La medicina en su
definición queda muy teórica, basada en el análisis físico y biológico de
síntomas, y en cuanto se pasa a la práctica con pacientes, entramos la mayoría
del tiempo en el recetar de medicamentos, tratamientos y/o cuidados
terapéuticos.
Y ¿la definición
de Neuro-Training? No figura en ningún diccionario y es normal que no os suene
ya que esta disciplina lleva poco más de una década practicándose. El nombre junta
la idea de neurología, sistema nervioso (Neuro-) y de entrenamiento (Training
en inglés). Según José Chouraqui, co-fundador del Neuro-Training, “además de
nuestro bagaje genético vehiculado por nuestros cromosomas, todas nuestras
sensaciones y experiencias de vida se imprimen a nivel celular.” “El
Neuro-Training proporciona al sistema nervioso una nueva experiencia
neurológica para que el subconsciente tenga una mayor elección de respuesta.”
Y ¿de qué sirve
entrenar la neurología? Los nervios son los que trasmiten las órdenes al cuerpo
y determinan nuestros comportamientos. Nuestro cuerpo no sólo está regido por
el cerebro, también incluye sistemas nerviosos, a la vez autónomos y
dependientes entre sí, que funcionan de manera subconsciente. ¿Verdad que no
dais conscientemente la orden a vuestros pulmones de procesar el aire que
respiráis? ¿O a vuestros intestinos de dónde llevar los nutrimientos y como
eliminar los desechos? Pues estos sistemas están regidos por nuestros genes, y
heredamos de las costumbres hasta subconscientes de nuestros antepasados. Sin
embargo, de todas las soluciones que sus cuerpos y mentes pusieron en marcha en
el momento adecuado, muchas ya no son válidas hoy en día y nos crean
trastornos, ya que seguimos aplicando algo que no nos pertenece ni nos corresponde.
El ser humano
funciona de manera “psicosomática”, es decir que la mente subconsciente (psico)
manda los síntomas en el cuerpo (soma) como señal de alarma cuando algunas partes
no funcionan como deberían en relación con el resto. Vivimos una situación /
relación a la cual no encontramos solución (trauma), lo que hace
reaccionar nuestro cuerpo. Mientras guardamos la reacción en nuestro cuerpo,
guardamos una huella (emocional, física, mental, energética,…) de la historia.
Mientras guardamos la huella, repetimos la misma historia hasta que encontremos
una solución que nos sea apropiada. Tenemos que dejar
de “compensar” por los traumas
pasados, conociendo nuestras prioridades y deshaciéndonos de nuestros lastres. Como
decía C. Yung “Hasta que lo inconsciente no se haga consciente, el
subconsciente seguirá dirigiendo tu vida, y tú lo llamarás destino”.
De un Evento (inmovible)sacamos una Percepción (cambiable
pero todavía real para nosotros en el presente)y se la asocia una Emoción
(irracionalmente fusionada a la percepción que tuvimos) que se vuelve real
cada vez que percibimos algo igual. La fuerza del Neuro-Training es
de proponer otra solución al cerebro y a la vez de desenchufar la huella de la
historia en el cuerpo. Y eso “de-fusionando”, es decir modificando
conscientemente la percepción (mental) que tuvimos de estos eventos
“traumáticos” e imaginando que otra salida emocional
hubiera sido posible sin tener que pasar por largos años de psicoanálisis. Esto
permite aplicar por elección consciente en adelante nuevos comportamientos
afines a nosotros mismos.
Los síntomas son
señales de alarma: una parte de la historia no expresada
(hacia fuera) sigue escondida y crea un trastorno (“tras-torno
/ retorno atrás” de todo trauma no expresado que volvió a imprimirse en el
cuerpo). El Neuro-Training permite proporcionar al cerebro otros modos de
reacción haciendo conexiones conscientes del contenido del subconsciente.La Kinesiología, así como todas las modalidades de cuidado reunidas en
el Neuro-Training (se podrían listar todas la terapias, alternativas o no), permite una lectura objetiva del cuerpo para
utilizar la mejor herramienta en el mejor sitio, de manera adecuada tanto en
atención primaria como en prevención, y da informaciones en todos los
ámbitos.
¿Tan diferente del concepto moderno de “medicina
general”?
De entrada, la
Organización Mundial de la salud (OMS), creada en 1946, anuncia en su preámbulo
que “La salud es un estado de completo bienestar físico, mental y social, y
no solamente la ausencia de afecciones o enfermedades”. Sin embargo, hay
que volver en el tiempo para comprender cómo llegamos al entendimiento actual
de “salud” y “medicina”.
De proveniencia
divina ya que todavía no había herramientas científicas modernas, magia y
medicina no se distinguieron durante milenios, de la prehistoria (7000 años
a.C.) hasta la antigüedad (siglo VII a.C.). La práctica de los chamanes o
curanderos iniciados se basaba en el conocimiento de las plantas y la
comunicación con los espíritus. Los griegos, analíticos natos, fundaron las
bases científicas de la medicina “occidental”, disociando la medicina de la
magia, con el juramento hipocrático por ejemplo.
A menudo a palos
de ciego, la medicina y la salud dieron un giro con el desarrollo industrial,
entre otros con las nociones de higiene y prevención. El progreso científico del
siglo XX buscó remediar a los males por la cirugía, la química (medicamentos) o
por medicinas naturales o alternativas (que se basan en un conocimiento
ancestral). Se ponen desde entonces en marcha sistemas de atención llamada
“primaria”, a los cuales deberían tener acceso todos los seres humanos, desde
su nacimiento hasta su muerte.
Con los nuevos
descubrimientos científicos aparecieron también, curiosamente, “nuevas”
enfermedades como el sida, la depresión, el cáncer. ¿No existían o tenían otro
nombre estas enfermedades antes o quizás se interpretaban sus síntomas de modo
diferente? ¿Se deben a nuestros recientes cambios de comportamientos
alimenticios y consumistas? Existe un gran desacuerdo sobre las respuestas a
estas preguntas.
Bien lo refleja
la polémica alrededor del cáncer. Desde 1930, un gran número de eruditos
afirman que hace falta un terreno ácido para que se desarrolle el cáncer. Sin
embargo, se gasta más energía y dinero en sacar al mercado nuevos medicamentos
y tratamientos (sin resultado garantizado) que en entender y prevenir lo que
crea un pH excesivamente ácido en el cuerpo, aunque sea fácil y accesible,
gracias a consejos dietéticos por ejemplo. O gracias al Neuro-Training, que ofrece
técnicas y procesos, integrados en un contexto de nutrición, en relación con el
nivel ácido-base del cuerpo, con el fin de comprobarlo y equilibrarlo.
Muchos de los que han intentado hasta ahora
defender estas teorías y ponerlas en práctica a nivel gubernamental han sido
descreditados, como puede ser el caso de los doctores Hamer y Gernez. Parece
que el dinero en el bolsillo de unos pocos prevalece sobre la salud de muchos.
Y pasa igual del otro lado del Atlántico, donde la Seguridad Social está
reservada a los desamparados y las mutuas cuestan una fortuna. Los intríngulis
económicos que representan el sistema de salud y medicina actual llevan los americanos
a pensárselo dos veces antes de visitar a un médico. Como vemos, la “salud” se
negocia a base moléculas reconstituidas en pastillas y todavía cuesta admitir y
aplicar los conocimientos ancestrales y universales de las plantas naturales
que permitieron el descubrimiento de estas moléculas y de sus virtudes. 
Aunque poco a
poco, un número creciente de individuos está abriendo los ojos, gracias a los
medios de comunicación, y contribuyen a los tratamientos cambiando sus
comportamientos de vida. Hoy en día, ya no se considera que los médicos detengan
la verdad absoluta. Recordemos que errar es humano y los médicos no están a
salvo de faltas profesionales o motivaciones personales que afectan la
credibilidad de la profesión, atacando el vínculo humano imprescindible para la
curación.
¿Se debe entonces
considerar la medicina como una ciencia exacta a tomar al pie de la letra?
Suelen haber muchos baches en el camino entre la teoría y la práctica. Asimismo,
cualquier método o análisis científico moderno está fundado en observaciones
contextualmente ligadas a percepciones, porcentajes, probabilidades. Es decir
que todo varia en base a excepciones, todo son teorías que pueden verse
obsoletas con un nuevo contexto o modelo de funcionamiento. El Hombre, sobre
todo el Científico, necesita definir los conceptos para volverlos tangibles y
sentirse en control, en vez de sentir que algo le supera.
Sin embargo,
igual que lo explica J. Chouraqui en su artículo: “No se puede comprobar
todo”. Este lado “definido” y “zanjado” del método científico le opone a menudo a todo lo que invoca lo intuitivo,
lo invisible, lo variable y lo infinito, símbolo ꚙ idealmente
proscrito como resultado de toda ecuación matemática.
El efecto placebo
(y por extensión el efecto nocebo) es otra “verdad incómoda” para los
médicos. ¿Por qué molesta tanto admitir que algunas cosas nos superan, o que la
mente (lo espiritual) y las relaciones humanas pueden infectar o curar el
cuerpo? Por otra parte, la compartimentación de las diferentes especialidades,
con todo fundamentalmente necesarias, acaba a veces siendo contra-productiva
por falta de un enfoque global, que permitiría vincular las especialidades y la
relación que tienen entre ellos los síntomas del paciente… Siendo esto cierto
en el mundo “occidental”.
En la 2ª mitad
del siglo XX, la generación “New Age” y la humanidad se volvieron conscientes,
entre otros, que en oriente, y los que conocen la Medicina Tradicional China lo
sabrán, este concepto es la base de la salud. Más allá de una medicina como
tal, el estilo chino es una filosofía de vida global, fundada en el
Yin y el Yang, y que “trata de entender el ser humano, que sea en la salud o
en la enfermedad, por una gestión del equilibrio de energías internas”. La
palabra “equilibrio” es importante: cómo funcionan los diferentes sistemas del
cuerpo, de la mente y de las emociones entre sí, su relación.
¿Y a qué se
reconoce un buen médico en China? Al hecho de que ninguno de sus pacientes está
enfermo. La Medicina Tradicional China tiene como idea base el mantener
el paciente con salud, y por lo tanto, prevenir más bien que curar. Por
esta razón en la China antigua, se le pagaba al médico cuando el paciente
gozaba de salud, y si caía enfermo, al médico no se le pagaba hasta que esté
curado. “Curar enfermedades es esperar a tener sed para cavar un pozo, o
fabricar armas después de que la guerra ya ha comenzado”: No funciona,
había que pensar en ello antes. Ahora bien, para una gran parte del mundo, nada
de todo eso es realmente tangible o realmente medible y sin embargo… los
resultados están aquí.
¿De un disfuncionamiento mundial a una nueva era
espiritual?
Se vuelve más y
más obvio cuando se habla de salud que además del cuerpo y del físico (o la
física), parece ser necesario considerar igualmente los ámbitos emocionales y
espirituales y cómo conseguir la armonía de los 3 por la energía de nuestros
comportamientos. No obstante asistimos desde varias décadas a una
generalización del fatalismo, del ombliguismo y consumismo, a un
“desencantamiento del mundo”. Para mejor o para peor, con el auge de la
comunicación e información, observamos una pérdida de confianza en las
instituciones y los valores en las cuales se construyeron las civilizaciones
que dieron luz a la nuestra. Por ejemplo, el papel del hombre y de la religión,
predominantes hasta ahora, pierde importancia y terreno.
Con la explosión
industrial además de tecnológica de la era moderna se crea una brecha enorme
entre los intereses de los gobiernos y los de los individuos. Frente a un
malestar creciente de los ciudadanos hacia las instituciones, más y más gente
decide encontrar soluciones que les son más adaptadas, más naturales que las “convencionales”
y experimentar por si mismos los efectos que un simple cambio, alimenticio por
ejemplo, puede tener en sus vidas y en su salud física, emocional y mental.
Más que en ningún
momento de la Historia, tenemos hoy en día el mayor número de información y
entendimiento del universo en el que vivimos y de los átomos que nos
constituyen. Numerosas similitudes se dibujan entre lo que se aplica de manera
“tribal” o tradicional desde hace miles de años y la comprensión que obtenemos
del universo en el que vivimos y cómo nuestra propia “máquina” funciona en el
seno de este universo. Lo que hemos llamado y todavía llamamos “magia” tiende a
encontrar un sentido nuevo, se acepta una ciencia no tan “ficción”. A fin de
cuentas todo es cuestión de semántica.
Con la física
cuántica, entre otros, más y más hombres de ciencia aceptan o intentan
compaginar 2 ámbitos hasta ahora “enemigos”: la ciencia y la espiritualidad (lo
infinito, lo divino, la energía creadora). Por fin llegamos a conclusiones tan
sencillas que son perturbadoras y faltaron años para que los científicos se
rindan a su evidencia. Por ejemplo, la observación que lo que conecta el
universo entero es el espacio, “el vacío”. Aún “el 99,99999% del átomo está
vacío”, la materia representando menos de 0,001%
de todo lo que existe. Las teorías cuánticas permiten conciliar lo finito y lo
infinito, lo inmenso y lo minúsculo, cuestionando y abriendo nuevas puertas a
la física clásica.
¿La medicina
general y las nuevas terapias, sobre todo el Neuro-Training, siguen la misma
tendencia? Esta disciplina reciente representa un método de traducción del
universo reflejado en nuestro cuerpo, siguiendo un idioma físico y los estados
de ánimo de cada uno, con el fin de vivir en plena conciencia. Pocas enseñanzas
medicales o terapéuticos hoy en día sintetizan tal cantidad de información,
abren tantas ventanas sobre tanto saber y sabiduría acumulados a lo largo de
los milenios.
Gracias al “Modelo de
los Principios Universales” de salud de Andrew Verity, co-fundador
del Neuro-Training, se muestra la
comprensión fundamental de cómo una persona expresa sus valores a través de su
vida y vivencias individuales. Sirve para exponer la naturaleza de lo que
reprimimos de nuestra expresión innata como la causa subyacente de tantas
aflicciones en la vida: los miedos, las creencias incompatibles y las
costumbres inhibidoras que bloquean la expresión de nuestro verdadero ser. El
uso del MPU en conjunto con la monitorización del tono muscular es la
herramienta del Neuro-Training como modalidad profesional. Resulta en un modelo
unificador pudiendo incorporar cualquier forma de Neuro-Training u otras
modalidades.
Comparemos las
similitudes, sobre todo el aspecto universal, entre el concepto
de Medicina en alquimia y lo que hemos visto del Neuro-Training
que incluye la Medicina China. Encontramos en ambos casos las nociones de
mental, físico y emocional ligadas a la de salud, y girando en torno a la energía
unificada del “Sí-mismo”: ♦ ALQUIM. Medicina universal,
medicina de los tres reinos. Piedra filosofal. Curar era el
objetivo de la Gran Obra (Opus Magnus), que se aplicaba a la Medicina
Universal. Ahora bien, la panacea llevadora de los remedios a
todas las enfermedades intelectuales, morales y físicas residía
en la Piedra filosofal, preparación que no hay que buscar fuera del hombre mismo. (O. Wirth, El Simbolismo hermético, Paris, Dervy-Livres, 1969,
p.108)
¿No os sabe ahora
el Neuro-Training a Piedra filosofal?
En términos de
atención sanitaria y en la sociedad actual, no todo sirve y la complejidad del
ser humano requiere soluciones adaptadas a los contextos personales de cada
cual. Lo mismo pasa con el Neuro-Training: siendo ejercido por hombres (y
mujeres) incluirá su lote de bugs, de errores de lectura y de desacreditación.
Sin embargo, la filosofía del Neuro-training no pretende ser mercantil,
exclusiva, exhaustiva o superior a ninguna otra modalidad. Ofrece una síntesis
de la mayoría de las terapias y especialidades existentes, “metiendo baza” en
el cuerpo a través de una lectura que sigue un método y un proceso científico,
actualizados constantemente con los más recientes resultados de investigación.
¿Se puede entonces decir que el Neuro-Training es una ciencia que
trata las enfermedades y que se aplica a todos los casos y a
todo el mundo?
Retomando los
términos de la WONCA, el Neuro-Training se puede ver como una disciplina
científica y posiblemente académica (igual que se está volviendo la
kinesiología), con contenidos pedagógicos, investigación, evidencia
fundamentada y actividad clínica propios. Es una terapia manual orientada a la
prevención y la atención primaria personalizadas, a nivel físico, emocional,
mental y energético.
La semántica de
José Chouraqui es la siguiente: “El Neuro-Training no es medical ni
paramédico, no es una secta ni una religión. Es un planteamiento
diferente, global, completo que permite identificar y reequilibrar las
energías perturbadas para aumentar el grado de competencia, recuperación,
potencia, energía disponible de cada uno con el fin de poder usar nuestros
recursos naturales y así mejorar nuestra vida, y que no
dispensa de cualquier medicina si se requiere.”. Se perciben aquí
una necesidad de desmarcarse por una parte de los “derechos de autor”, para no
molestar lo que está en juego económicamente para algunos, y por otra parte de
lo “alternativo” para ganar en credibilidad.
¿Será el nombre
de esta disciplina que causa problemas? Con todo ya sería ideal concertarse
para encontrar un apellido al que cada miembro de “la familia que cura” podría
identificarse. En cuanto a la medicina “oficialmente reconocida”, a la que la
kinesiología y el Neuro-Training no pertenecen, sería ejemplar tratar de
alcanzar juntos, “generalistas” y “Neuro-Entrenadores”, unos objetivos comunes
al bien de todos. La salud de todos
los pueblos es una condición fundamental para lograr la paz y la seguridad, y
depende de la más amplia cooperación de las personas y de los Estados. Le toca
a cada uno elegir personalmente.
Para más detalles y
referencias, podéis encontrar la integralidad del trabajo AQUÍ.
|
|
Julie R.: Publié le lundi 29 mai 2017 11:15
Esta frase de
Ayrton Senna puede parecer muy dura, sin embargo, en un entorno tan competitivo
como puede ser el de la competición deportiva, es la presión a la que se ven
enfrentados muchos atletas y deportistas a diario. Era el caso de Daniel, de
unos 30 años, corredor de maratón. Y encima, a Daniel le pasaba que, sin
importar cuanto entrenaba antes de cada carrera, siempre llegaba segundo, lo
que resultaba muy desalentador.
Es lo que le
explicó a J. cuando acudió a su primera cita de Neuro-Training. Durante la
sesión, la lectura que obtuvo J. le llevó a preguntarle a Daniel sobre su
nombre, y si sabía el proceso que había llevado sus padres a escogerlo. Daniel
explicó que sus padres pensaban llamarle Fransisco durante los 6 primeros meses
de embarazo, hasta que vieron una película que gustó mucho a ambos y decidieron
cambiar el nombre de su futuro hijo por el del protagonista de la peli, Daniel, despreciando el primer nombre que habían escogido.
Eso infundió en
el feto un programa emocional subconsciente que se iba a desarrollar a lo largo
de su vida, de que lo primero no valía para él, al igual que el nombre que
escogieron sus padres primero. Por esta razón, por algunas conexiones
neurológicas que no le pertenecían a él, sino a sus padres, le generaba
demasiado estrés llegar primero en las competiciones.
A raíz de
desenchufar y corregir este programa originado in-útero, J. recibió unas
semanas después una foto de Daniel en la que por primera vez, se le veía en el
escalón más alto del podio.
Los nombres usados han sido cambiados, aunque las anécdotas relatadas son reales, la mayoría vivencias de J., el mayor Neuro-Trainer que conozco
|
|
|
|
|